De retour d'une quinzaine de jours passés dans les Alpes à sillonner l'arc alpin versant italien.
Durant la première semaine, nous sommes partis à plusieurs guides avec l'objectif final d'aller gravir le Matterhorn;
la quantité de neige très importante ne nous a pas permis de tenter l'ascension mais nous avons fait de belles courses tout de même.
Durant la première semaine, nous sommes partis à plusieurs guides avec l'objectif final d'aller gravir le Matterhorn;
la quantité de neige très importante ne nous a pas permis de tenter l'ascension mais nous avons fait de belles courses tout de même.
Pour ouvrir le bal des réalisations, nous avions dans l'idée de s'acclimater au refuge de Torino dont l'accès par le Skyway est d'une rapidité déconcertante.
Dans la benne, je ne peux m'empêcher de penser à Jacques de Lépiney ( qui gravit en 1919 le Trident du Tacul ) qui n'a pas bénéficié à l'époque de cette approche mécanique.
Nous partons donc pour gravir ce sommet et cette voie historique qui fait partie des "100 plus belles" de Gaston Rebuffat.
Angélique et Pierre sont nos compagnons de cordée à Laurent et moi-même.
Cette classique du massif est très parcourue mais qu'à cela ne tienne, l'ambiance est bonne; Pierre qui a peu grimpé en extérieur s'en sort à merveille des pas difficiles de la voie et Angélique déroule les mouvements verticaux en discutant au relais.
L'arrivée au sommet aérien nous permet d'admirer la Chandelle et la face Est du Grand Capucin qui est toujours aussi attirante.
Dans la benne, je ne peux m'empêcher de penser à Jacques de Lépiney ( qui gravit en 1919 le Trident du Tacul ) qui n'a pas bénéficié à l'époque de cette approche mécanique.
Nous partons donc pour gravir ce sommet et cette voie historique qui fait partie des "100 plus belles" de Gaston Rebuffat.
Angélique et Pierre sont nos compagnons de cordée à Laurent et moi-même.
Cette classique du massif est très parcourue mais qu'à cela ne tienne, l'ambiance est bonne; Pierre qui a peu grimpé en extérieur s'en sort à merveille des pas difficiles de la voie et Angélique déroule les mouvements verticaux en discutant au relais.
L'arrivée au sommet aérien nous permet d'admirer la Chandelle et la face Est du Grand Capucin qui est toujours aussi attirante.
À noter la rencontre avec Nina Caprez, grimpeuse helvétique au combien charmante et rigolote dans une voie voie parallèle à la nôtre.
Nous enchaînons les rappels, courts pour ne pas coincer les cordes et reprenons pieds sur le glacier.
Le retour se déroule dans un brouillard énigmatique mais qui contribue à la rêverie et à fixer dans nos mémoires cette magnifique ascension.
Nous retrouvons nos autres camarades au refuge pour un repas bien mérité.
Nous prévoyons d'aller traverser les arêtes de Rocheforts le lendemain.
Pour plus de photos
Nous enchaînons les rappels, courts pour ne pas coincer les cordes et reprenons pieds sur le glacier.
Le retour se déroule dans un brouillard énigmatique mais qui contribue à la rêverie et à fixer dans nos mémoires cette magnifique ascension.
Nous retrouvons nos autres camarades au refuge pour un repas bien mérité.
Nous prévoyons d'aller traverser les arêtes de Rocheforts le lendemain.
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